VENTES D'ARBRES, -41) KOOPH BOOliEN, CHARBONS. 3 NOTAIRE DE TAVERNIER, les mains de leurs enfants des instruments avec lesquels ils peuvent se faire mal. Une petite fille de deux ans, Célina II.., habitant chez ses parents, dans la commu ne de Moras, s'amusait avec sa sœur âgée de cinq ans. Cette dernière tenait la main un couteau de table avec lequel elle jouait, et qui existait la convoitise et les cris de sa petite sœur. La mère de ces enfants, qui en ce moment s'occupait de son ménage, ordonna sa fille aînée de satisfaire le désir de sa sœur, pour mettre fin ses cris. A peine Célina eut-elle le couteau que, dans l'expension de sa joie et encore peu solide sur ses jambes, elle fit un faux mouvement qui entraîna sa chute. En tombant, la lame pénétra dans le cou de la pauvre enfant et divisa la trachéeartére. La mort a été presque instantanée, malgré les soins que M"* H..., folle de douleur, a prodigués sa malheureuse enfant. On nous raconlre, dit le Courrier des Alpes, un fait curieux qui s'est passé il y a quelques jours, dans une commune voisine de Charabéry Un individu convoitait depuis longtemps, dit-on, une ruche chez ses voisins. Ne pouvant résister la tenta tion, il s'y rendit un soir, dans le but de se glisse fortivement suprès de l'objet con voité, passe une planche sous la ruche, la place sur sa tête et déguerpit proratement. Mais le propriétaire, qu-i de son côté s'était levé pour satisfaire un besoin, se met sa poursuite en crialit au voleur; l'autre prend sa course, mais ayant un fossé traverser, il veut le sauter, il n'y réussit pas, et dans le mouvement qu'il fait, ta planche qui supportait la ruche «lise terre et le voleur se trouve coiffé de la ruche elle-même. Le propiélaire l'atteint en ce moment, mais il avait autre chose faire qu'à lui adresser des reproches; il fallait songer les tirer d'embarras; ce qui ne fut pas petite besogne, car les abeilles irritées l'avaient attaqué d'une cruelle maninière. Le malheureux est aujourd'hui dans un état affreux. Un combat a eu lieu dernièrement Sarragosse entre un éléphant de l'île de Ceylan et deux taureaux. Voici les détails que nous transmet la Correspondencia de Madrid Le géant de l'Asie, après s'être pro mené avec beaucaup de gravité, attendit tranquillement son adversaire, presque la porte de l'étable. Le premier taureau est sorti, et bien que se trouvant en face J'une masse énorme et formidable, il n'a pas hésité attaquer de front l'éléphant, qui, le recevant sur ses défenses, l'a terrassé et couché terre avec la même facilité qu'un enfant jetterait une orange. Deux ou trois fois, le taureau est revenu la charge, jusqu'à ce qu'enfin l'éléphant l'eût criblé de coups de ses formidables défenses et étendu mort ses pieds. Le vainqueur, après cet exploit, était aussi calme que l'homme qui vient d'ava ler un verre d'eau et il mangea avec grand appétit le maïs que son maître vint lui donner. Bientôt un deuxième taureau s'élance contre l'éléphant, qui ne larde pas le coucher mort côté de l'autre. Après ce double triomphe, le géant était aussi frais et dispos que s'il n'avait rien fait, et il semblait de force défier tout un troupeau de taureaux. Le taureau est un adversaire peu re doutable ponr l'éléphant, parce que l'atta quant de front, il vient se briser contre les formidables défenses du colosse asia tique. ETAT-CI SE DÏPHES, ÉTAT-CIVIL DE POl'EIUNGIIE, Du 4 au fl 1 *0% cm lire iiirltt*. .MARCHE D'YPRES. 4:T T Iii<ll<|ut»ii< I«»m <|«iiiiitUé* cl le prit ii»o>cii •Icm (.ruine, FoarmyeN cl iiutrcN proriultn ugrl- rmlvH vendum le flt \«l tllllti; INUI, nu marché de celte ville i 21-55 l'OPERINGHE11 NOVEMBRE, ETUDE DU A LA NU ENI ARCK. On décharge en ce moment au Quai, Ypres, un bateau de Charbons tout-venant i fr. 45 c. l'hect. ou 19 fr. les mille kilos. Au comptant hors du bateau les 5000 kilos 88 fr. S'adresser chez VANDEV Y VER-VICTOOR, au Quai, n° 4. P. S. On peut se procurer aussi chez lui des Pommes de Terre de Furnes. MEUBLES, ETC. A Langemarck, le JEUDI i" DECEMBRE i864, raidi, Vente publique de 142 marchés de beaux et ftros Ormes, Bois-Blancs, Peupliers, Saules et 1 Chêne croissant sur la ferme des enfants Pieters, au hameau Sl-Julien, le long du pavé ap pelé Lekkerboterkassydeprès le cabaret le Keirzelaer. 2. 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Pooiteinao, Pierre, 36 ans, employé des douanes, célibataire, rue de Menin, Ferraod, Jean- Baptiste, 62 ans, tonnelier, époux de Viigiuie Stekelorniti, Marché au Bétail. Enfants au-dfssocs de 7 ans 4. Sexe tnasc. t, idem féru. 5. Naissances 11. Sexe tnasc. 5, idetu fém. 6. Mariages. Durant, Benoit, célibataire, 3o ans, oir.rier, avec Luysse, Amélie, célibatau e, 2 b ans, dentellière. Biuueel, Pierre, célibataire, 33 ans, cultivateur, avec Labaere, Octavie-Rosalti célibataire, 25 ans, dentellière. Chalelel, Al- betr, célibataire, 29 #A)S<, aide ûiaçmi, avecCaes- teker, Phiiomène, î3 ans, demeibèfe. Flamey, François, célibataire, 26 ans, avec Bouthé, Amélie Sophie, 3oàns, bouiiquièie. Enfants au-dessous de 7 ans 5. Sexe tnasc. i, idem fém. 2. NATURE des l.ritliim et ileitrecm. quantités vend ibs. kilogrammes. fr1x Il V r; par 100 kilogrammes. k t- "c f r a J t: froment 4o.6oo 24-00 80 Seigle 6,4oo 17-75 73 «0 1,800 s 8 - 7 5 45 Pois 206 82 iO Féveroles. 515 21 - 84 82 40 Pommes de terre. 9 000 6-5o Beurre 5i5-oo Pain de farine de froment brute 22 t' le Idem pour les Fondations de 3o c', grammes. Fromenthectolitre, fr. SeigleiH. Avoiuei.|. Fèvesiil. Poisii|. Pimiuics de terre les io«» kilogi «toiuu s Keurie h- kilogiamme Houlilou les 5u kilogrammes, kilo. i,56o l8-65. 1 5 g-5<>. ;<)-5o. i(i 00. G-«H) OPENBAERLYK. TE KOOPEN. Donderdag 8" Decembek 1864, ten 1 ure namiddag. zal'er voortsgegaen worden tôt deze Venditie met tyd van betaling, mits stellende goede borg. -«S—, Chez Mme V' DE MYTTENAER-CLEERENS, 28, Marché aux-Herbes, Bruxelles.

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Le Propagateur (1818-1871) | 1864 | | pagina 3