MALADIE DES YEUX.
DÉPÔT D'HUITRES,
ETAT-CIVIL D'YPRES,
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OUTILS DE CHARPENTIER
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ANGLETERRE.
FRANCE.
ITALIE.
ALLEMAGNE.
Le Tirage au sort, des
deux Tableaux exposés
l'Académie de Dessin, aura
lieu le Dimanche 1er Sep
tembre 1861, 11 heures et
demie du matin, YHôtel de
Ville(Salle du Rez-de-
chaussée.)
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M. FIERENS,
Donne des consultations COURTRA1
tous les Lundis, l'hôtel des Armes de
France, rue de Lille. Les autres jours de
la semaine, a l'exception dc Mercredi, a
GAND.
CHEZ MERAINI,
P!UJ!BtL!l<§)(yj[
MEUBLES
ETJFIaO, au sud de la
Grand'Place
A MESSINES.
La Reine continue son voyage en Irlande.
L'accueil que reçoit partout S. M. est respectueux
mais froid c'est de la courtoisie officielle qui ne
s'éteod pas aux manifestations populaires. S. M.
est en ce moment b Killarnryoù elle loge chez
lord Castlerosse.
D'après les co-respoudances des feuilles de
Londres, le priuce de Galles est très-populaire en
Irlande: c'est peut-être eo souvenir de cet autre
prince de Galles, qui, vers la fin du siècle dernier,
avait transporté en Irlande le foyer principal de
l'opposition contre la couronne d'Angleterre.
On lit dans le Manchester-Guardian, dn
27 août La semaine dernière, il n'y a pas en
inoins de i5,ooo balles de coton de Surat en
voyées de Liverpool l'Amérique duJiord,*>ï«
New-York. Un tel fait est, croyons-noussans
précédents.
On écrit de Marseille Beaucoup de familles
nous arrivent ici fuyant de Sicile qui est en feu.
Les désertions dans l'armée piémontaise sont in
nombrables. Le 7 aoûttgi déserteurs siciliens,
napolitains, romagnols sont arrivés b Marseille par
la voie de Nice, et ont été envoyés aussitôt dans les
Calabres, pour se joindre aux réactionnaires. Déjb
le 5 août nne forte compagnie de réactionnaires
s'était rendue Naples, sous la conduite d'un
généralde deux colonels et de quarante-sept
officiers. Il est remarquer que le général et les
officiers ne sont pas Napolitains. Les bandes d'in
surgés se renforcent tous les jours; sept d'entre
elles ont des cauous.
On assure que les ambassadeurs de Siam
quitteront la France dans la première quinzaine du
mois de septembre prochaio. Ils ont renoncé au
projet de visiter l'Angleterre.
Ils s'embarqueront, dit-on, b Toulon, sur le
transport mixte la Mayenne, qui les conduira b
Alexandrie, et ils prendront passage b Suer sur
le transport b vapeur la Gironde, qui les a ame
nés et qui les attend. Ils se rendront b Saigon
pour visiter notre établissement de la Cocbincbine,
qui touche, comme on sait, au royaume de Siam,
et ils s'embarqueront ensuite pour Bangkock.
Nous recevons de New-York des informa
tions précises et qui tendent b montrer comme
très-grave la sitnation des États du Nord. Notre
correspondant nous assure que plusieurs puissances
européennes auraieot conseillé au président Lin
coln d'eolrer en arrangement pour arriver une
séparation amicale avec les États du Sud.
Une dépêche de Constauliuople, du 21, nous
annonce que la questioo de délimitation des fron
tières des provinces unies de Valachie et de Mol-
vient d'être résolue par la commission européenne
du Danube, d'une manière favorable aux préten
tions de la Turquie. Par suite de celte solution, des
instructions nouvelles ont été envoyées au direc
teur des douanes de Sulioa. (Patrie.)
La Moriarchia nationale, feuille très dévouée
au système actuel avec une légère nnaoce d'oppo
sition potir les personnes, contient une lettre de
Naples qui donne les détails les plus saisissaotssur
I administration de ce malheureux royaume. Ce
qu'il y a de curieux, c'est que cette lettre est due b
la plume de M. Silvio Spavèuia, lequel était il y a
no mois, directeur-général de la police Naples,
et qui sait par conséquent a quoi s'en tenir. Il n'y
a rien de plus intéressant que de voir les révolu
tionnaires jugés les uns par les autres.
D'après M. Spaveota, CiaMini est un soldat aussi
brutal qu'incapable, M. Caulelli, une sorte d'imbé
cile et ainsi de suite. Il prévoit que si l'on vient h
bout de ceux qu'il appelle les brigands, la domina
tion piémontaise périra par sa propre iucapacité.
La Gazette du Midi cootieot une lettre de
Rome 2t aoûtlaquelle nous empruntons les
passages suivants Je viens de visiter les villes et
les villages du Latium, depuis Palestrina jusqu'à
Frosinooe, et je me plais rendre uo témoignage
aussi impartial que désintéressé l'esprit des popu
lations et aux sentiments dont elles sont animées.
J'ai parlé avec le riche, et me suis assis au foyer du
pauvre, j'ai interrogé le noble, le piètre, le magis
trat, le simple paysan. Partout la réalité a surpassé
de beaucoup mou attente; la grande majorité est
dévouée au Pape, et parle de la domination pié
montaise comme du plus affreux des fléaux.
Dans les localités regardées comme les plus
annexiouistes, les piéruontistes sont en faible mi
norité; mais comme il est de l'intérêt de la révo
lution de faire croire b l'unanimité des sentiments
hostiles au Saint-Siège, les comités expédient des
émissaires qui parcourent les villes et les villages,
et qui, avec l'aide de quelques misérables achetés,
organisent de pitoyables manifestations.
Ainsi arriva-t-il a Olevano, où b la voe du
drapeau piémoutais oo fit fermer les maisons.
L'émissaire qui avait planté le drapeau fut arrêté;
c'était un étranger quant au drapeau, il veuail de
Naples. Le i5 août, la même scèoe se répéta b
Palianoet l'apparitiou des couleurs piémootaises
n'excita pas la moindre joie, le moindre cri dans
la foule, n
Un manifeste du général Klapka commente les
dernières résolutions de la Diète hongroise. Il faut
une Hongrie libre, forte, unie la première con
dition est donc l'intégrité de sou territoire, et
ceci est uue revendication de la Croatie et des
aotres annexes; la secoude condition est l'égalité de
toutes les nationalités représentées sur ce territoire;
la troisième est un accord ferme, indestructible
entre les nationalités divetses contre l'oppressiou
de l'Autriche.
Eo paraissant s'adresser b Garibaldi, Klapka
fait en réalité un appel aux Croates, Slaves et
Roumains. Ce qui a de l'impôt lancec'est qu'il
aouooee que l'euteote pat faite est très-proche et
il montre la délivrance de la Vénétie comme con
séquence immédiate de la défaite de l'Autriche
par la Hongtie.
Francfort, 27 août. L'effectif de l'armée
fédérale s'élève b 452,763 hommes, le contingent
de réserve compris, et il doit être porté, dans le
courant de l'année, au chiffre de 613, t3o hommes.
Le contingent de l'Autriche sera de 182,614 an
lieu de I20,4t2. En un mot tous les contingents
fédéraux seroui augmentés. Baden portera le sien
de i5,ooo b 17,114 hommes. Seuls Weimar et
Francfort conservent le nombre primitif.
On écrit de Berlin, le 27, la Gazette
de Cologne
J'apprends de sou<ce certaine que le Roi se
rendra sous peu b Strasbourg, pour avoir avec
l'empereur des Français l'entrevuedoot 00 a parlé.
DU 24 AOUT AU 30 INCLUS.
Naissances 3. Sexe masc., id. fem. 5.
Décès 4. Blieck, Marie, 78 ans, dentellière,
célibataire, rue de Menin. Vandecastelle, Énte-
teoce, 38 ans, repasseuse, rue Notre-Dame.
Lapiere, Julie, 60 ans, cabarelière, épouse d'Arnaud
Delaruwiere, Marché an Bétail. Victoor, Ursule,
64 ans, propriétaire, épouse de Charles Cornette,
10e au Beurre.
Enfants au-dbssous de 7 ans 3. - S xe
mas. sexe fém. 3.
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Chevalier de l'Ardre de Léepeld, lloetrur en
Chirurgie, Médecln-Occullste des
hospices d'Anvers,
LES INDIGENTS SONT TRAITÉS GRATIS.
TOUS LES JOURS FRAIS D'OSTENDE,
A LA CARPE,
MARCHÉ AUX POISSONS.
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et
en la maison du sieur
Jeudi 5 Septembre 1861. 9 heures du
malin, en la dite maison, on Fendra publi
quement 4 Garde Robes, 4 Armoires, 5
Tables, un Secrétaire, plusieurs Bois de lits et
Coffres, Echelles, 2 Moulins vanner le grain
et couper des pommes de terre. Rouleau, Joug,
le tout nouvellement confectionné, plus une
grande quantité d'Outils de charpentier plu
sieurs belles Sciesun Engin ffyndas),
quelques Plats d'étain. Théière, Lauriers et
beaucoup d'autres objets dont le détail serait
trop long.
Terme de paiement. Qu'on se le dise.