a a celte rature saisis éCTalemenl par le gouver- autres bieos, soit qu ils aieflt été vendu après Tuileries pendant que la tamille royale ira ODt"élé vendus depuis celte le concordat par le gouvernement, soit qu'ils passer quelque temps au château, près de - - Pir rt'oc» (lo 11 1P n np uemenlel qui convention ou que le gouvernement fait encore aujourd'hui administrer en sou nom. Vous avez de grands motifs d'espérer dites-vous que si nous donnions an susdit article l'extension désirée vous obtiendrez sacs délai du gouvernement une déclaration solennelle ou une loi expresse par laquelle ou déclarerait rendus l'Église d'autres biens qui, quoique compris dans les lois relatives la saisie des des biens ecclésiastiquesn'ont cependant pas été occupés de fait par le gou vernement ou parce que ces biens ont été cachés, ou parce qu'on en ignorait la nature, ou parce que d'une manière quelconque ils ont demeurés inconnus l'État. Vous peusez d'ailleurs que de cette dé claration il résulterait pour l'égliseuu avantage temporel assez considérable vu la quantité des biens de celte espèce qui se trouvent dans vos diocèses el dont il vous Serait aisé de recouvrer bonne partie. Mais vous ajoutez que Paiïaire presse, attendu que les détenteurs de ces biens atteindront au mois de mars de Tannée i834, le terme fixé pour la prescripiion par le droit civil du pays et qu'alors aux yeux du gouvernement il se- xoul les viais piopriétaires de ces biens. Dès que nous avons pris lecture de votre lettre bous n'avons pu nous empêcher d'y recon naître le zèle extraordinaire avec lequel vous veuillez au bien des églises qui vous sont con fiées ensuiteayant admis notre conseil quelques uns de nos vénérables frères les cardinaux de la sainte Eglise romaine et o m toute l'alïaire ayant été examinée avec soin il nous a paru puisque le gouvernement n'a pas encore porté el qu'il u'a pas même pro mis de porter la loi que vous esperez obtenir, que nous ne pouvons pour le moment ac corder l'extention de l'article susmentionné. Cependant comme le délai présente du dan ger, el que nous sommes couvaincu de votre solicitude pastorale et de votre prudence nous avons résolu de vous déléguer vous même pour terminer cette affaire comme il convient. Nous vous permettons donc vé nérable frère par la présente lettreainsi qu'à soient encore en sa possession. Car c'est de Dieppe. 1 I _ld.IlI - A «nlrn I a science certaine el de la plénitude de notre autorité apostolique que nous vous occor- dons tout le pouvoir nécessaire pour procé der cette exleiitioo dans le cas dont il s'agit, dérogeant toutes dispositions conlraiies même celle dout il faudrait faire une meu- - Le camp de Compiègne est positivement ordonné des dispositions se prennent déjà pour l'établir vers la fin de juillet, il sera composé celte année de 4'°°° hommes de cavalerie et d'artillerie cantonnés. - La cour royale d'Agen, chambres réu nies a prononcé le 6 juin contre M. Mara- bal, juge d'instruction Villeneuve-sur-Lot, la peine de la censure avec réprimande pour avoir incidente sur la forme du serment lion expresse. Nous vous donnons vénérable fière, du fond de notre cœur notre bénédiction apostolique vous et aux évêques vos suf- fragans ainsi qu'aux brebis confiées vos qu'il avait prêter comme électeur le i6 soins; et nous adiessons au Tout-Puissant des mai dernier. Cette peine emporte la privation prières ferventes, pour que cette bénédiction du traitement pendant un mois. soit pour vous le gage de toute grâce céleste. Donné Rome Saint-Maiie-Majeure le 16 septembre de l'année i833 de notre pontifical la troisième. Signé Grégroire PP. XVI. FRANCE. Paris n Juin. La Gazette extraordinaire de Madrid du a juinpublie ie texte des articles qui concernent spécialement dou Miguel dans l'amnistie ou capitulation accordée par dou Pedro le 26 mai Il est assuré au seigneur don Miguel une pension annuelle de tjo contos de reaux (36o,ooo fr.), attendu le haut rang de sa naissance, et il lui est permis de disposer de ses propriétés personnellessous condition qu'il restituera les joyaux et tous autres ob jets appartenant la couronne ou des par ticuliers. Le seigneur don Miguel partira de la - Ou lit dans Y Ami de la Charte t journal de Nantes que par une récente décision émanée de Prague, tous les légitimistes sont autorisés prêter le serment comme électeurs ou comme députés le cas échéant. - Lucien Bonaparte, prince de Canino, vient d'adresser aux membres des collèges électoraux une lettre dans laquelle on lemar- que le passage suivant: Je vous demande justice pour les cendres de Napoléon que l'alliée s'étonne de posséder encore. Justice pour cinquante Bonaparte dispersés sur la terre d'exiltandis que le drapeau d'Arcole el de Marengo flotte sur le clochers de France Justice pour nos desceiidans frap pés parla loi d'exil avant leur naissance, parce qu'ils porteront un jour le nom du triomphateur de l'Europe! - Puissions-nous, votre voix reprendre nos droits de cité Puissions-nous comme autrefois concourir encore, dans les assemblées primaires la représentation nationale - Un pari qui avait attiré avant-hier puissances alliées conformément au traité du 22 avrilpour être conduit dans le port qu'il désignera, avec toute sécurité pour sa personne et sa suiteet avec tous les égards dûs sa haute naissance. Ledit seigneur don Miguel s'obligera quitter le Portugal dans l'espace de i5 jours; f s'engagera ne jamais rentrer sur aucuu nos vénérables frères les évêques des autres point des domaines du Portugal ou de TEs- - - - -•1 L.e seigneur .<nKuc. panua uc ra qUeiqUes personnes au Champ de Mars, a place d'Evora le 3i. Il pourra s embarquer' eu jes jus lrjsles résultats Deux jeunes gens sur un bâtiment de guerre de l une des quatre deva;elll eu f£,ire tour en courant dans uu nlllaoo /iniiformpmûnl l raito diocèses du royaume vos suffragansde vous entendre sur cet objet avec le sérénisi- me Roi des Belges et avec son gouvernement. Vous pourrez arranger cette aff.tire en com mun et même par l'un d'entre vous désigné cet effet par ses collègues. Et quand vous aurez obtenu une loi où une déclaration so lennelle appuyée sur le droit public eu vi gueur dans votre pays, par laquelle on dé clare rendus l'égliseainsi qu'il a été dit plus hautdes biens cachés ou non saisis de fait par le gouvernement, n'importe par quel le raison vous pouvez de votre côté dé clarer en notre nom que le susdit art. i3 eu concordat de 1801 est étendu tous les pagne et ne concourir en aucune façon troubler la tranquillité de ces royaumes. Dans le cas contraire, il perdra son droit la pen sion stipulée et il s'exposera subir toutes les conséquences de sa conduite. L'état-major du seigneur don Miguel expédiera immédiatement des ordres tous les commandans des places où des forces en campagne et toutes les autorités qui re connaissent son gouvernement, pour qu'ils se soumettent S3ns délai au gouvernement de S. M T F. dona Maria 11 sous le bénéfice des conditions de l'amnistie. Du 1s - M. le duc d'Orléans va quitter Meudou prochainement pour venir habiter les temps convenu. L'un d'eux est resté en roule; au moment où son concurrant touchait la grille du côté des Invalides qui servait de butil est tombé. Les témoins de la course sont allés sou secours, l'ont relevé et trans porté dans une maison voisine il était mort quand on y est arrivé. - Ou écrit de Malte le 17 mai Des événemens importans auront lieu bien tôt en Orient La flotte anglaise est partie, le lundi 12 du courantpour le Levant avec double munitions de guerre. Depuis quelques temps, c'est ici le point de réunion des vaisseaux et des navires anglais. Hier est arrivée ici une frégate française avec des dé pêches pressées pour l'amiral anglais. On a fait partir sur-le-champ uu bateau vapeur pour porter ces dépêches l'amiral. - On écrit d'Alger du 31 niai: Le chef des Arabes du désert dont le pays est dix journées d'Alger vient d'en voyer ici l'offre de faire cause commune avec les Français el de les soutenir avec lou-

HISTORISCHE KRANTEN

Le Propagateur (1818-1871) | 1834 | | pagina 2