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mercredi dernier dit Les conditions de la
ANNONCES.
leine erademing) est très désirable pour
nous; les élections françaises en décideront, et
la conduite de l'empereur Nicolas vis-à-vis de
la Pologne pourra exercer quelque influence
Cet égard. Mais cet étal une fois établi, le mou ve
ntent aujourd'hui arrêté débordera en France,
et la légitimité, sur laquelle se fonde la liberté gue. Celle pitoyable Belgique qui s'est crue
- Les puissances sont-elles bien d'accord du
moins en proposaut les 18 art"? N'y a-t-il pas dans
leurs protestatations quelque sourd machiavélis
me qui tout bas protège ce que tout haut il semble
attaquer Si elles ne cèdent pas plus que ne le
fera la Hollande la question ne sera pas lon-
iki„;nno
conférence serontsemble-t-ilacceptées par
une majorité respectable sinon forte et comme
le vote du cougrès qui regarde le prince per
sonnellement était peu près unauime en sa
faveur, la violence de l'opposition que déploie
une partie du congrès contre les conditions suc
que par l'accroissement illusoire de quelques
lieues quarrées de territoire. 11 existe d'autres
moyens pour nous assurer le débouché vers le
Rhin, que de rendre inutile le canal du nord:
l'union dans l'intérieur, et des institutions qui
protègent fortement notre prospérité, nous ren
dront plus puissans qu'une augmentation de ter
ritoire, qui n'aura d'autre résultat que de né
cessiter des mesures extraordinaires de défense,
et ne diminueront en aucune manière le poids
de notre dette. De meilleurs lems, et des alli
ances solides, nous mettront même d'entre
prendre, par lu suite, la guerre avec moins
d'appréhension. Mais dans le moment actuel le
choix ne peut être douteux entre une transaction
temporairel'aide de laquelle nous pouvons
beaucoup conserver et nous réorganiser, et la
guerre qui doit remettre tout en question.
Déjà Rotterdam regagne beaucoup de ce qu'
elle a perdusurtout par les facilités accordées
au commerce; qu'Amsterdam suive cet exem-
guerre générale on le taisait pour
elle et cause de la peur qu'elle inspiraitcette
Belgique mérité une leçon sévère le moment
est venu.
Une nation en masse n'est jamais coupable
on sait combien de propriétaires, d'hommes
sages mais timides portent au foud du cœur
l'amour de la paix et du répos. Ce ne sont pas
là les conquérans qui menacent la Hollande
ceux-ci ne sont qu'un ramas de vagabonds
ayant leur tête quelques intrigans la bourse
vide, sans feu ni lieu ayant leur ambition
satisfaire et leur poche remplir. Voilà les
hommes qui vont paraître sur nos frontières.
C'est contre ceux-là qu'il faut exciter la publi
que indignation
Citoyens! soldats! l'heure est venue peut
prolongation de la paix en Europe.
- Des lettres de Pologne adressées au gen
tilhomme polonais qui indirectement représente
ici le gouvernement de Varsovie, sont satisfai
santes, mais c'est regret que nous apprenons
que d'autres personnes ont reçu, de sources
authentiques, des nouvelles d'une nature défan
vorable aux Polonais. On dit que l'armée russe
fait des progrès graduels et continuels, et qu'on
craignait pour la sûreté de Varsovie. L'emperenr
Nicolas avait refusé toutes les ouvertures pour
un arrangement dont la base serait la cessation
des hostilités de sa part. Court Journal
pie, et du sein du malaise général et par ticulier
que dans le camp ennemi retintil maintenant
renaître cette prospérité que nous avons perdu UI1 cri guerre. Notre voix aussi saura se faire
par la réunion et que nous ne pourons relrou- entendre. Nous répondrons ce cri en enton-
Ver qu'en demeurant séparé de la Belgique. naul l'bymne des combats en exaltant le cou-
- Là ximhemsche Courant soutient que la rage et le patriotisme de nos jeunes guerriers,
Belgique n a aucun droit sur le Limbourg;. il eu célébiant la concorde qui rallie tous les eu-
propose de nous livrer en échangede nospréten- fans de la vielle Hollaude autour du trône cons-
tions sur celte province le Luxembourg, «pour tiiuliouoel et des drapeaux de la patrie. Il ne
être de se presser autour de l'autel de la patrie. ia5. Den Notaris VALLAEYS te Renînghe,'
Nous avons suspendu quelques jours nos pair io- zal Donderdag 4 Augustus i83i te beginnen
tiques exhortations pour laisser tous les faits, ten acht uren' s'morgens, in het Gemeente-
tous les discours, toutes les provocations Huys le Noordschooleprocederen lot de
belges uue place large et sullisante. Mais voici openbaere verpagting voor negen jaeren in te
gaen Jen oclober aenstaende, van aile de vaste
Goederen toebehoorende het armbestuer der
zelve gemeente Noordscbote.
123.
WERVICK BELGIQUE.
lequel, ajoule-i-ii, pas un Hollandais ne don
nerait un obole, pas un garde communal ne
voudrait rester un instant la frontière.
Le département delà guerre a mis en adjudi
cation publique le construction de nouveaux
ouvrages devant les fortifications de Wourdem
et B 'ts-le-Duc.
- On lit dans l'Handels-Blad do 9 juin
Nous aurions conseillé l'adoption de tout arian-
gement équitable qui nous aurait été proposé
par la conférence. Mais lespréliminaiies de paix
qui nous sont soumis contiennent des articles en
opprtsition directe avec nos intérêts; nous ne
parlerons pas de .nos droits, qui sont foulés aux
pieds dans ces propositions. Mais adopter l'art.
B, ce serait abandonner des positions qui en
cas de guerre, seraient les plus solides boule
vards de notre pays; car d'après cet article nous
devrions évacuer la citadelle d'Anvers et voir
remettre en question nos droits sur Maesiricht.
Nous ignorons entièrement de quelles enclaves
de la Belgique, sur notre territoire, l'art. 5 a
entendu parler. Tout ce dont quelques bavards
ont entretenu le congrès relativement la sou
veraineté de la Belgique sur Ravestein et Berg-
op-Zoora, est trop déuué de fondement et de vé
rité, pour que nous le rapportions ici. L'art. 7
porterait un coup de mort notre commet ce
sans parler de l'interprétation, on ne peut plus
déraisonnable, qu'il donne des stipulations du
traité de Vienne, relativement la liberté des
tiendra pas nous que le teu sacré ne s'entre
tienne et qui sait stl ne se prépare pas dans les
rangs de nos volontaires quelques héros incon
nus encore et qu'attendent la gloire et i'rm-
moilalité Journal de La Haye
FRANCE.
Parisi3 juillet.
Une lettre de Londres annonce que la cour
de Rome négocie auprès du cabinet anglais par
l'intermédiaire du résidant brilanuiqueà Rorne^
pour obtenir la permission de prendre la solde
du pape 10,000 soldats Irlandais.
- On écrit de New-York, 9 juin: La place
où était Fayette-Ville, dans laCaroline du Nord,
ne présente plus que des monceaux de cendres
et de débris; l'incendie que rien n'a pu limiter, a
consumé entièrementle art mai dernier, cette
petite ville florissaute; a banques, plusieurs égli
ses un palais de justice et enviion mille maisons
ont été la proie des flammes. Des souscriptious
sont ouvertes dans les plus considérables cirés de
l'Union, pour porter secours cinq ou six mille
iudividus privés d'asile. Le nom de la Fayette
qui portait celte ville ajoute encore l'intérêt
qu'inspire un si grand malheur.
- L'acceptation des dix-huit articles par le
congrès de Bruxelles résout la part européenne
des difficultés de la question belge: l'autre paît de
fleuves La Belgique ne pourra jamais prétendre ces difficultés reste entre la Hollande et la Bel-
endroit de correspondre avec le Rhin par les gique. C'est une très grande simplification d'ob-
eaux intérieures qui traversent notre territoire. tenue. Le prince Léopold, roi des Belges, ne
Les prétentions des Belges doiveiit-se borner Peul manquer de venir s installer Bruxelles,
la libre navigation d'Anvers la mer. La diplomatie va pouvoir s occuper desor-
Ce journal trouve encore fort étranges les ma's 'a ^°'0f;ne avec P'us de suité. Déjà
étentions qu'élèvent les Belges sur différentes l'Angleterre et la France ont pris les devants
prétentions qu
places, en vertu du droit d'insurrection. Maes-
tricht, dit-il, n'est pas plus belge, parce qu'on
y a envoyé quelques têtes chaudès heethooj-
den siéger au congrès que Gand n'est hol
landais, parce que quelques fabricans désap-
Messag. des Chamb.
ANGLETERRE.
Londres11 juillet
Le Courieraprès avoir fait l'éloge du dis—
pointés y poussent encore le cri d'oranjeboven! cours de M. Lebeau dans le coDgrès belge
Sur les terres occupées par la veuve P ierre Da-
nelci-devant Antoine Decraemer tenantes
la ferme et terres des enfans Six peu de
distance du moulin nommé le Klyt-Molen
Un bonnier 5o perches de bled, i bonnier de
seigle 1 bonnier 8 perches d'Avoine portion
de foinfourage de seigle et d'avoine, une
charettecharues, Hersesbrabaut et autres
objets arratoires trop long détailler
vendre.
Le jeudi 21 Juillet 10 heures du matin on
vendra publiquement au lieu iudiqué les dits
objets avec terme de paiement moyennant bonne
caution.
Les acheteurs devront payer comptant qui va
lideront a compte de leurs achats 3 florins.
Mtr. COURTENSNotaire Comines est chargé
de cette vente et de la recette, Mtrc DECONINCK,
Notaire Mouscron communiquera les conditions, t
124. vrywilligen koopdag
te reninche.
Op Woenidag 20 july i85i, s'middags te be
ginnen, zal'er ter hofstede ende landen gebruikt
doar Ignatius-Jacobus Cruyssaertlanilbouwer
te Reninghepublyken koopdag gebouden wor-
dent°- van aile de Vrugten op den akker be-
staende in ontrent
3 kunderen 3o roeden terwe.
0 60 rogge.
1 4 haver.
o 70 peerdeboonen.
0 60 vlas.
1 3o - aerdappelen.
1 3a maeygars.
2° Van een peerd 5 melkkoeyen, 2 jaerling
kalvers en 2 drinkeling kalvers, 2 koornwind-
molenseenen ploeg kegge 2 aelkuipen 2 heeg-
den sleephuut, kortewaegen aile voorder boer—
allaem, aile de huis-catheylen en menig ander
voorwerpen te lang om te melden.
Deze verkooping zal gebeuren met tyd van be—
taling voor de koopen boven de dry guldens de
gonne daer onder met de bespreken gereed te be-
taelengoede bekende en in bet arrondissement
van Yperen gebuisveste medekoopers te stellen
en ander voorwerpen dan af te lezen. 1
118. Schoone Meublaire venditie te Yperen-
Woensdag 20 July i83( en volgenden dag noodig
zynde 'smorgens om g en s'namiddags om 2 uren f
zal'er venditie gehouden worden ten huize van Louis