Jjê Courrier dit dans son son city article Le btu-Hcouptà- la boni se que les cinq puis sance ont nommé dès touiinissïiiies aliu ije fane de NOUVELLES FKQl'OilTlONS sur la question belge, rel,«mentent a t.< délimita tion de 1a Belgique, et qu'ils quitteront cet jtfitt.SA'mpfUjLiilidres. -t "t au trône de la Belgique il trouvera toujours noo seulement auprès de la Hollande mais sur tout auprès de notre monarque un obstacle t.ous les désirs des Belges etchaque pas il s'apercevra qu'il a rencontre un ennemi bien décidé se vengertoute éternitédes in sultés et des attentats de ia Belgique Cela est tout fait dans la natuie de nolie laible et fia- gije humanité telle doit être nécessaire meut la conduite d'une dynastie décimée décline. Il «le- vietidta pour elle de ptincipes betédilaire de ne çégiiser aucun moyeuafjn de téduiie ta Bel gique tut degié extrême de ipis^r.e quand tpeufe Qfi ne vouji14.11 par là que reporer l. hum. neur de la maison d Orange et faire voir à-la génération actuelle quel point de prospetiié la Belgique-avait atteint sous ces ptiuces. f£3S';ft» FRÂXCÉ. Paris y tg iu'n. Le bruit a couru hier qup. J'qsçadre ru»se de la Méditerranée avait pris possession de l'île de foins 3anr l'A.r.chtpel Grec. -Une lettre de Pétershourg, datée du i« juin, apprend que M. le comte de Langeron général en chef, aide de camp de l'empereur Nicolas, vient de souscrire k 'l'empreint national de t'rance pour une somme de io,ooo Irancs. âtOnitiar.J 1, - Le roi de Na pie», l'occasion de sa féte, vient de rendre plusieurs décrets d'annistie. Le premier accorde pleine eb entière .liberté aux individusdé- tenus par suite de la funeste affaire de iMbnteforte (en 1820.) Ceux qui sont exilés peuvent rentrer danb leur patrie. Le second décret accorde la grâce de h'iavio Rutlo, qui sati»fart<sa peine dans la cilà^ delle de Meteine. Les autres reconnaissent line'tfèi grande quantité d'eâicicrs de tous grades, ayant fait1 partle-dt l'armée dissoute en i83tl'aptitude rentrer dans le» rangs de l'uriuée, de la manne et de l'administration militaire. - r ,rv Angleterre. q-jb ti.« obnottq vs:3J.:/v »Fi ;'T 17 Londresa a juin. nsKins-roofc iraJawuflL-teS uh om-ssi - - Les ministres des grandes puissances onl ru le 17 propos «le la question h. Ige ùpe tonlérnrcé 'm'ImlD des allai tes et rangeas. - Lor.l Paloveislon a dout le 17 un grantl dîner diplon\»tiquR, auquel cnl assisté le ptince Léopoid et U-s députés et commissaires belges. - Nous sommes bett aises «h-pou voit anuon- éei: tyùCqtuelqÙçs unes des d.(lieuliés qui s'ojy posaient I acceptation de L couronne de ia _Belgiqt*e par le prince Léopold, ont été écar tées et qu'il y a bon espoir «pie la question Sera arrangée d'uue manière satisfaisante. Courrier. - M. Casimir Périer a manifeste beaucoup de tnécoii te nient de la paft que la Kys^ie a prise la question belge et a déolaté que dans ancuo cas la, France u'envena de troupes en Belgiqtse .de concert ayee les troupes des autres puissan ces. Cette déclaration ftanche a force leS au tres gouvçrnemet.s ribandonner I intention d'occuper la Belgique comme le disait la lettre de Lord Pottsopby. Le Cabinet français s'est aussi prononcé chaleureusement contre de ca- biuet russe ausujel de l'invasion de la Pologne. Court-Journal j Du igr Le Morning ppontv/e du 17 î'il a îiarl'tcle de ia bourse v Ou assure S d'une manière positiveque uoiiobsiatlt tout ce quia été dit et fait relativement la Belg que le ptince Léopold va partir, sous peu ne jouis, comme souverain de ce pays L& CtAtrlr-Jou/nal, du Utème jour donne l'assurance .qu«i la conclusion des allaites bel- ges est plus prochaine qu'on ne l'avait"plèiisë et que le caWet bruautuque -vcuait défaire .ratil-stofii) et 11 f 3 quelques concession^ relativement deux ou trois points impôt tans. Les feuilles du 18, tiennent presque toutes le même langage; enti'auttes The Sunday Ti mes l)ie Engltshman the Allas die Ob server the United Ktngdon ihe News et die Wtekly Times. AUTRICHE. f ienne ,11 mai. Jamais P Autriche n'a élevé de prétention tendan tes obtenir la cession du Novarrois ainsi que de la route du Simplon et «jui auraient été occasionnées par l'extinction de la maison de Sardaignc. Les journaux de Paris qui se sont occupés de rechercher si de pareilles prétentions 'étaient fondées ou non dans le droit public, auraient pu s'épargner un.e peine inutile mais ces feuilles avuient moins cœur de voir éclaircir une question de droit public, «jue de veiilef'it'Ce que les bruits répandu» depuis longtrms sans aucun fondement sur- unn opposition que for merait l'Au^ercLe l'avènement la couronne du roi. UuiijW .j/Ubt^, continuassent de se soutenir. A ce désir des joernaùx de Paris il faut joindre celui de maintenir le pub! ic européen dans un état d'irri tation en lui présentant sans cesse des perspectives dp guerre. Lesgouvcrnemens, et nommément celui d'Autri che ne veulent pas de guerres il faut espérer que tant qu'il y aura des gous ernemensce sera eux et lion pas k des partis qu'il conviendrait de décidée en,donner ressort des premières questions de la vie soc aie. Cette ibis encore les amis du mal ne verront pas s'accomplir leurs espérances. ObservAutric.J IRLANDE. INSTABILITE DES GOL'VERNEMENS CONTEMPORAINS. En France Louis XVI a été plusque délrô-» né Louis XVlil a subi deux exils Charles X en a subi trois. FerdiiiatnJ VII a habité Valencay pétulant 5 ans; son père Charles IV, est mort deçtm- tonné Rome. t Après la bataille d'Jenale roi de Prussç actuel s'est vu un instant dépossédé n'ayant plus un village eu son autorité fut reconnue. En 1806et 180g, l'empereur français d'Au- triclie a de même été la discrétion du vaiiM queur d Austielitz rl de VVagtam. Le graml «lue Cottsianiiu a été dépouillé'de la couiottné dts Czars. Le roi de Piémont est resté plus de quinze ans sans un pouce de. laciaiu eu Italie. Le roi de Ueux-Siciles, beau peie de Louis Philippe a deux fois été chassé de N.iph s. Le toi Gustave de Suède est reduit voya ger en hiver sur l'impériale d'une diligçnç%, et sa main royale y a été gelée. Le roi Guillaume de Nassau est demie de- couronné et il est dtjà resté sans état pendant longues années. troq -De tonte» ta populations de l'Europe, la plus ac- eahlée par la faim et la misère est celle de l'Irlande; naguère eilç manifestait su sou tira nce par des émeu te»,, par des,i,ncciidiç>; ces désordres paraissent étouf fés par un grand déploiement de force armée de la part de l'Angleterre. Cependant la misère continue a décimi r silencieusement ce peuple affamé. Un ra- Conle d'horribles choses. Voici des extraits d'une correspondance addressé Avenir-, ces pièce» ont un cataotère d'authenticité qu'il est impossible de jaier. - Lettre, dy docteur Mue haie évéque catho lique du Comté de Mayo. Dans cette paroisse seule, -il y a en ce moment3,000 personnes sans un mor ceau de pain; si ce. n'est celui qu'elles tiennent de la charité. Dans un mois, il y en aura deux Cois plus. Cet élat de choses est prouvé par le serment de tous .les magistrats. - LeUre de Al. Potiercuré protes tant de Louisbourg. il y a daijs cette paroisse 5,000 individus qui meurent de faun. Lettre de Charles Alucdonnelldatée de Chjden. - Il y a ici i,5oo lauiilles, et 5o seulement ont des provisions pour un mois. Quelques pauvres mangent le bétail qui meurt de maladie sur le» montagnes. Lettre du comité central de Alayo. - Les rapports ci-inclus, qui ont élé soumis un examen sévère, prouvent que dans treize paraisses de ce comte il y a 66,476 individus qui n'ont rien a manger. - L'espace nous manque pou r continuer le récit d'aussi atroces souiirances. fourquoi cette misère est-elle si profonde en Irlan de A.. La population de ce pays est de sept millions, sur lesquels on compte six millions de catholiques; au milieu d'elle existe une église anglicane qui ne couijite pas pius de cinq cent mille prosélytes et qui cependant possède au moins le huitième du sol en toute propriété et sur tout le reste le dixième des produits ti). 1 i. I il Le total des cinq premières listes de la souscription pour l'Irlande y ouverte au bureau de l'Averur monte déjà i,y2Î francs. s (i7 Le cierge d'Angleterre et du pays de Galles qui ont 6,3oo,oou hahitans, reçoit y,43g.565 iiv. slerl. ou 2>6<4by 12§ lf* L'église protislanle d'Ecosse, qui compte un mil lion et demi de prosélytesreçoit 2<jo,qoo liy. stefl. ou 7,262,300 tf- L'eglisv établie d'Irlande, qui n'a qu'un demi million d'habitansreçoit 1,426,587 liv. sterl. ou nvhtoT i3 - Il résulte de ce petit tablera, éxt^it de la ftfvfie Britanniquequé l'église anglicanequ; p'a que 8,800,000 prosélJtJeSj cuùte 11,176,13s liv. stcrf,iVu 279,416,300 fr. Et le clergé de toirtçs Ifi» églises chrétiennes du monde, qui ont 1^)^,728^000 religionnanes, reçoit k ~,^i,ou liv. sierl. ou 224,975,000 fr. i vAi) -jb ûf.v>ffiijc Le roi de Saxe en 1814 s'est trouvé quel que temps sans royaume, frappant en vain la porte des diplomates dernièrement il a été contraint de partager sa loyauté. Miguel l'enfant gâté de lt Quotidienne, A clé obligé d'aller méditer, sous l'aile de M. Melterniclisur les vicissitudes humaines. Le pape catholique Fie VI est venu mourir Valence, Fie VII son successeur, n été pri sonnier Fontainebleau et Grégoire XVI le pape du jour Elisait il y a trois mois, 19- douber certaine vieille felouque qui composo toute sa maiiue, pour se dérober aux troupe* Bolonaises commandées par Sercognani. Qui pourrait se croire plus solidement élnbEflj que .Napoléon et cependant il a deux fois été renversé de son troue et avec lui sont tombés Jerome roi de WestplialièMurâtroi de Na~ pies Joseph roi d'Espagne. 11 Nous ne parlons pas des phases nombreuses de la révolution française ni de tous les acci- deus qui lour-ià-tour ont déplacé et replacé les petits princes d'Allemagne et d'Italie et notam ment le duc de Modette. J Jjf 11 n'y a pas huit jours qu'à la liste de lotis ces catastrophes est venu se joiudre celle de don Fedro. r.,f. ni =a n^*o NOUVELLES DE l'OLOGXÈ. I VarM*vip, 13 juin. Le iec de ce mois, une députation du conseil mu nicipal de Varsovie s'est rendue au quartier-général du généralisiute, et Lui a déclaré qu'en ces «le néces sité Varsovie, son appel, se ijèyçrajt conirap-im seul homme, et montrerait l'ennemi q.ue sçs hahi- bitans savaient manier les armesi Le'gmié'ralHsiine a. répondu que Varsovie ne serait pas de sitôt dan» le cas de se défendre, ^iajs qu'il:éUit'a£jrt}uel'apifeini, s'il attaquait fa capitale, trouverait sou tombeau soh» ses murs. Lés fortificationsqRi qnt épi construites récenuncrtt autour de Varsovie, son fort éjenduys«t, il faudra une armée considérablepuiir l'aasjég«r«. t t'iucik 1V Lçs insurgé» de,Eodslie .ont nég'roid un t**prdfit 20 millions avec laiCtMntçsseRraïuzkajk.Ûinlvoafkwrtr, prè» de Ei«w-*jur le Dnieper.,tLa quittance a été signée (>ar l'émir Kzewuski. rinaV, On a reçu Varsovie la Hpngrie, «n dons jouî tes hôpitaux, 5oo tonneaux de n», i5o de vinaigdr, et d'autre»«iijets. w| ;,L ItiisJàia'jr un <io»J ,v\antM ...i.'i i 1 nouveaux iJEràlW» slh I.A moiit uu felu maré- Du quarrier-général rosse Lte'-zew», 10 j«ip. C'est avec jlou que je flou vqp» annoncer, que le général en chef des troupes inipériales nusses,le feVd-'maréiJial colp'té Dielulytlj 8 ihalk.in'^ki «t iryirt su,bileineiit aujourd'hui midi et dèm M ■'quaflier généraPh Lliczeuoprès de Pultùsk. tf ('t vivement Ve^^tté. 'Hier, Il st1 [iortâ'rtJencore tré» bien; il avait été très"gai tabtlé, e?rien n'aniioii- ça'it chez lui'^U'it'fùt nilélAdir; -ntAfli'/ vKi t heures dcJa nuit, -iLiut tout-à-coup-aUeiiite_ii'4Q

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Le Propagateur (1818-1871) | 1831 | | pagina 3