j cajwcs fût-ce (tue pour prémunir nos frêiesrcontée les HOLLANDE. - Quel que soit le prince étrangerappelé Cà 4TT ^7 Tf 1 /t Y j dimanche Bruxelles; et une communication Stfr cet objet pourra être faite lundi au congrès. .Nos <léputés devaient dîner, pour la dernière fois, -chez le prince de Talley rand demain a3 juin. Le discours quia-été prononcé, le ai, par le roi d'Angleterre au parlement, et que non s pourrons sans doute publier demain,jÇhûl con tenir déjà le canevas des résolutions du prince Léopold et des deux cabiuets de France et d'Angleterre. (Cqprrier.) - La hante-cour militaire par décision datée •du 22, a mis le major Kessels hors de cause sur les trois cliefs de prévention il a obtenu sa li berté immédiate. J -Une députation de l'association nationale, •accompagnée d'un assez grand nombre de bles sés de septembre, 's'est présentée hier mutin chez M. le ministre de la guerre, pour lui de mander FarnmmeTTt miméthal-dii pf'tniier bande la garde civique. Nous ne connaissons pas le résultat de cette démarche. iC.^ -On dit que le premier ban |îe|a garde ci vique de la province du Bt^aiiPjleridioïial va êtie mis sur pied de guerre; sons trois jouis, il Seiait Anvers. Ce serait significatif. - On assure que le général espagnol Quiroga est arrivé Biuxelles, où il veqfeiifiir gtalui- -5 i gWVOTÉ POLOHA1S EH BELGIQUE. •Nous ne u ou s Aurons pas au point de croire que lè Jôurria des Flandres est beaucoup lu en'Po'ognefiV>us it aivorts jjâ'àtufté Wjf'e tept u- ffant sans un sentiment d'amhqf-piojyVé'âiîséz •excusable qu'un envoyé de cette héi ôïqVtè'nà- tibn'véoait d'arriver Bruxéllèk'fî a qni lrîi'é suianr eT s i,3ia ru«j «I r, eus<itj«dieoiti°Biiii'f rems, nous disions que, st était autohiiilefit i^tr parti pris de faire un cours de ^diplomatie aux dépens du peiipV Belge et de le grever de Quelques milliers de florins pour avoir un mi- tJfJÂ- R.» J Tt Ijf .•tOI.OAjl h 9JJ SflOUBil léiA fef air lltsteie des relations eXteneuieS, il fallait au moins comhituctr digin nient et envoyer d'a- Iwrif an député la tiièii» île Varsoin* sopreîtl r-r ïfo tir .'6 u 110 èWt»îa«lQr r protoc"!" s. Notre ministère n a pas compris no ire pensée et comment comprendrait il ce qui que simple et Jeuéii ux Il a envoyé des ambassad uis a Lôtidres pour y faire avilir la JWîiyjB fi up'tattry 03 P*3n-;iTiUûr Jj j.rsraïayr nation dans leur personne et a Paris pour tfu if y^eût ia un ra^/qui essuyât les insult< s jet les calomnies des organes de M. Casimir Per- IV I s rter mats aux Polonais a ce p< uple qui le seul idè l'Europe sympathise réellement et entière ment avec la pailie saine de notre nation! le ministère l'a oublié, lui émaué d'un congrès populaire .comme l'oublient les rois de .l'Europe gui l'ont spolié iraguéies et qui soui iraient au- jourd'hui s'ils je voyaient effacé de la liste des peuples. Modestesparce qu'ils sont vraiment grands les Polonais nous oui prévenus; ils ont com pris le sentiment qui avait dicté nos conseils, et M. le comte 2uliiski s'est rendu Bruxelles. Quelle penseée affligeante pour ceux qui sont Hachés la patrie ne naîtra point peut-être r vue du noble étranger? (^ue d'ineptie et de faiblesse que d'intiignés et de déceptions ne "Verra-t-il point dans beaucoup de ceux qui dirigent nos affaires' Heureusement, fait Huile de la nation est toujou/s belle, et le comte de Zaluski comprendra que tien ne lui manque, si ce n'est des chefs dignes d'elle. Le jeune homme qui a été blessé dans lasoirée du i3 Rue de la Croixse liouve encore a 1 hôpital. Il a eu le bras gauche amputé, ce- Éèridant depuis qnelqlies joliis', il se trouve eancoup mieux II paraît maintenant avéré qtie c'est un cotip de fusil qui a été tiré sur Te grou pe. La justice frit une enquête sévère sur cet événement. Plusieurs témoins ont déjà été en tendus le coupable ne tardera pas être connu. - Ou a reçu Anvers l'avis que Je cholera- morbus s'est déclaré-à- Hambourg: La maladie y présente le même caractère qu'aux lieux où elle s'est déjà manifestée. Elleartaque les clas ses indigentes et les pet sonnes qui mènent une vie peu ugulière Du leste le nonibie de.» ma lades était peu considétable au départ des nou velles. FLANDRE DITE HOLLANDAISE. En journal publie sur l'état des esprits dans la Flandre dite Hollandaise la tfc>ié suivante qui pro vient d'une source sû-eet impartiale. Les miliciens de l'aruiée. hollandaise d'occupation danslajjartie de la Flandre, qui se trouve l'extré mité de la rive gauche de l'Escaut sont pour la plupart ttés dans le Brabaul-Septeutrionalet leurs dispositions, l'égard de la révolution belge, sont assez connues. Les bataillons de schuttery qui fout aussi partie de celte petite amré'e d'occupation, sont composés d'hab.lans de la Frise et de l'Overysselqui sont peu disposés faire le service militaire et dont le plus grand désir est de retourner chez eux. il n'y a pas de cavalerie. Un compte: seulement quelques maréchaussées pour te service Ae police. (lue partie de la iu« trfdeeltBg a été ^pendant ces derniers mois, en garnison l'Ecluse. Comme cette afdeelmg a pris part auxexcè&.co.niuiisBruxelles, par les troupes (le Frédéric, les soldats qui en lui saient partie n'avaient pus crauurè h6m l'Ecluse que celui de giyze mourdenaars les assassins gris Jcause de la couleur de leur capote. ■J i Lorsque-, le 1.9 ou ju niai dernier, le'pFinçe Fré déric vint l'Ecluse pour en inspecter la garnisoif pas une démonstration de joie ne se manitesta sur son passage. Le cbel"de mitrailleurs Bruxelles y est apprécie comme dans tout le reste de la Belgique. Un se rappelle d'uilk.uii que la ville de l'Ecluse a fait présent aux troupes belges d'un beau 'drapeau tricolpre un peu avant l'expédition de Crégoire sur Uust Bourg. A Ardenbourg, le prince Frédéric a été accueilli aussi avec la1 pliisgrande froideur.. Uni.séut iijdsvklu sTest mis en train de taire criyr yt a iini par crier seul yme le prince I Le grand moyen; de défense qu'cmplioent les Hol landais dans ce pays consisté a couper les chemins par de larg.s fosses, et a élever dans nulle eiiuroits de hautes dignes, des Batteries sans canonset des barricades; plus de 400 pionniers ont travaillé a ces dit!érens ouvrages pendant plus de quatre mqis. E^ plupart des pnnla. S"' nilu-p..-. ce ua.VS. sont rompus; mais tous ces travaux ne rendent pas Ifn'viisitin impossible. Ils peuvent seuleinéut servir assurer une retraite plus facile aux Hollandais quand ils seront attaqués. il y 4 dans celle partie de la Flandre cinq justices de paix, dont les chefs deux sont l'Eclusvy UoslBourg, Ysendycke, Axel et Uulst. La superficie du teintoire comprend 51,000 hectares;'ce sotilfcotitrédil, les meilleures terres de la Flandre, et la populatiun est de près de 34411111 auies. Les trois quarts de terres appartiennent a des propriétaires Belges., hahilans des parties de la Flandre déjà soumises, an gouverne ment beige. sfnver»2$ juin. Plusieurs journaux annoncent que lè 3e ba- taillon du 4e regitiu til a tt l'oidte de se reu- dtè Anveis pout renfoteer la garnison; jus qu'ici aucun 01 'Ire n'a encore ete donneet nous Ctoyons cette nouvelle prematuiée. La flotte hollandaise se renforce de jour en jour il est venu le 16 une frégate dont les mâts n'ont la liauleUr que d'un tiers des niâts ordinaires de naviies, en rade devant Doc! On dit que c'est 1Erudice elle 24 piè ces de canons les uns disent qu'elle est faite pour jeter des bombes les autres en parlent ri 111 renie 111 11 se tiouve maintenant depuis le vieux Dot I jusqu'au Pyp Tabule six fréga tes un biiek, un bateau vajieur 3 mâts et neuf canoiinietes, -Un organise une compagnie franchede potn- piei stu es tu incipali-nietit de la classe des ar tisans qhe leur éta^ nict' lc plus mèmedecon- naitie l'us ge de i'echetle et aulits obj. ts qui hdd'ivetil êtie lannlit is au service des iticéiidies. Tpules fes mtsuies qui peuvent êtie utiles sont pi ise> avec soin. - On assuie qùe les ordres les plus sévères viétuit ut d'être donnés par l'auioi né riiiii'taire aux avant postes belges de ne plus laissér pas ser aucuue charelte boliaudaise conduisant des EiTA.il Jf 1/ 1 J •.Vt., j irarchaotîises, attrodu qtie l'e.nnerui se servait de t es coinaïunicatiens jioiir s'informer des for ets et de la jvosiliou de nos troujies. - Ou nous éci iiï 15oo sarraux ont été con fectionnés jiar ordre de nos orangistespour en revêtu des Hollandais, qui ainsi vêtus se se raient emparés du fort du Nord, et par ce moyen aùi an rit lavorisé les vaisseaux bataves qui n'attendaient que ce moment pour entrer dans noiie fleuve. De l'argent, ajoute-l-oo, a été dtsliibue jiar ces mêmes orangistès frotlC qu'on ri|itistâr la fusillade hollandaise et de cette façon tandis que tous nos soldas se se raient duigesvers la citadelle, les Hollandais, têtus en blouse aui aient effectué leui drscen- te que'ies nôtres, resté audit fbrlauraient piobabletnenl plis pour leurs camarades. Un habitant de ùotre ville étantil y a trois jours, Schooten a lencontié deux officiers hollandais en iiniftrrmeav'ec fcttFéeharpe orange et ay^nt deux pistolets la ceintute; ils lui de- nianoeti ni le cln min qu'eu faut-il penser Il faut penser de tout Ceci que nous sommes eu- touiésde îiaîires et d'espions. Escaut. - Ni.ne ville d'Anvers doit des remeteie- mens M. le général Tiecken de Terliove qui a choisi pour commandant du fort et des batte ries du nord le cajiitaine Rigout. Cftt ancîep of- Ijcidrk'jcmpliJd'rX péi ietifcy%ai s® yjjaf js^.:fcr- m té t son sang-froid et son énergie retenir lescanontiiers qui voulaient a toute foice (aire Lu sur les caiiunuieresr-H: a été puissamment secuiidé pat les drtUL-.ljeqtUipus d'artillerie at tachés la bail. rie. La conduite; de ces officiers mérite «les éh>g. s'j car s'ils avaient écouté le usst fiiiuit-id 1 xuié par le feu de drtirfflhière&y qtuiitul piévoir quel en eût été le résultat Journal d'envers. - Le conseil de guerre ordinaire de la pro vince d'Anvers a condamné, dans, s» séance dq ce jour, le nommé Félicien Cartier la (nine de moi 1 et aux fiais, pour sédition et révolte dans la cascine. Le nommé Prosper-'Joseph Vincent, accusé de coiipticilé de ce crime, a été acquilié. - Un delaclieroenl du 4* régiment d'infante rie est arrivé le 22 eu celte villeveuaiit d'EfC^ kéré'ii et des 11 virons. On attend, sdùs qéel juèS jours, deux bataillons. - Nous croyons nécessaire d'appéler avec in- stance l'alteniioi) du gouvernement sur les me sures prendre pour gaianlir nos j>rov»nces et cette ville eu particulier de rinirod&riiion du fléau qui exerce en ce moment ses 1 rivages dans une grande jmi lie de l'Europe. Le choiera mor- bus s'est déclaré dans plusieurs ports de la Bal tique et de la mer d'Allemagne. Sommes nous encore exjiosés voir cette calamité1 grossir la somme des maux qui nous accablent On sali qu'Anversreçoit beaucoup d'arr ivages du noid, et jiar ses lelalidns maritimes court, plus que toute antre ville, le danger de voir la contagion se nienifi ster chez elleet cela une époque de l'année où la chaleur ne pourrait que rendte le mal plus terrible. Espérons que l'autorité prendra des mesures séverès pour éloigner de nous une maladie qui mettait le comble nos malheurs. \J. du G.) La Haye s 0 juins Le gouvernement vient d'ordonner les me sures h s plus sévères, afin d'emj.èiher l'in- iioduction du choiera morbus Tous les vais seaux venant de la mer Baltiqueseront soumis la quarantaine, elles marchandises purifiés Sons jx u de jours, une commission s|)éciale composée des iuspecieurs-géuéiaux du sei vice sanitaire desfoiosde terre et de mer ge réunira en celte résidence pour aviser aux moyens d'éloigner ce fléati dévastateur du sol de la patrie.

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Le Propagateur (1818-1871) | 1831 | | pagina 2