i bulletin des lois, et publié par la voie de l'im pression. Résolu Ttezène, le toavril 1827. Le pris/dentGeotges Sissini \esecrétaire M. ùjiilia'li-S Dans le même numéro, XAbeille grecque déclate dénuée de fondement la nouvelle ilonuee Comme officielle dans sa feuille précédente du 19 aviilde la prise dans les eaux de Candie d'une corv< ite consuuue Livourue pour le vice roi d Egypte. FRANCE. Paris, i3 juin. Le traité entre la France et le Mexique que nous avons fait connaître «st accompagné d'une stipulation qui fixe au premier janvier îdsp l'époque jusqu'à laquelle les dispositions conti nueront être obligatoires pour les deux parties contractantes Voici la clause. <c II est entendud'après cette stipulation que les articles précédent sont regaidés des deux côtes comme provisoirement obligaloites pour les deux jiays compter du jour de leur date jus qu'au premier janvier «829, et qu'ils ne pour ront être successivement maintenus d'année en année qu'autant qu'une des deux parties contrac tantes ainsi que chacune d'elle s'en est réservé le droitn'aurait pas signifié l'autre six mois avant l'expiration de chaque année successive, qu'elle entend renoncer la susdite convention Le s 1 mai derniera été signé Berne la convention qui réglé le droits de domicile entre lescitoyeus Suisses et Français Cette convention est basee sur le principe delà plus parfaite réci procité- Le chargé d'affaires de Portugal Madrid communiqué son gouvernement l'avis que des ordres allaient être expédiés au général Satsfield pour faite retirer les tioupes espagnoles sous son commandementet leur faire occuper les posi tions qu'elles avaient auparavant- Le chargé d'affaires a fait connaître en même temps son gouvernement l'arrivée Baronne du vicomte de Canellas et du marquies de Chaves que le gouvernement espagnol avait fait sortir de sou territoire* Etoile Nouvelles de la Penmsule venues de bords dj ÏAdour. Indépendamment des bêtes féroces arrivées de France dernièrement et qui ont coûté piès de 800 mille francs, S- M-a fait puiser dans diverses Caisses d'autres sommes considérables pour com pléter sa méuagetie. Les deux conseils d'état et de CastiUe avaient adopté, dil-on le plan infernal de se défaire en tin jour dans toute l'Espagne des franemaçons et des comrnuneros ou pour ntienx dire de tous les libéraux mais le sut intendant-général de la police ayant été informé de ces dispositions se ren dit auprès de S. M- et en attela l'exécutiou, Le jour de la S Ferdinand les volontaires yoyalistes ont commis Mutcie des excès qui ont coiué la vie plusieurs libérauxet qui oui oc- cisionné des b'escures d'autres et le pillage d'un g ami nombre de mais, ns- Il vient de se montrer toul-à-coun en Cata logne une nouvelle secte qui prend le litre de loi ange ne lo s les trompés Cette secte est militaire ,et poursuit indistinc tement les royalistes et les carlistes, elle a un centre ou gouvernement qui paraît être établi Berga. Deux b indts de cette s cte ont déjà com mencé leur campagne- L'une se compose de t30o et l'autre de -700 hommes tous bien habillés bien armés bien équipés et la plupar t ancien mi litaires Ces deux bandes n'ont comm s aucun vol aucun dégâtet n'ont encore fait de niai personne C'est par voie du Constitutionnel que le correspondant revèle l'existence de ces deux corps aimés THIBUNAUX- Parmi les nombreux légatoires institués par Bonaparte figuioieui les fiètes Lalletiiand le gé néral exile du sol français, condamné mort, habitait Btuxelles. Prive de ses giades et sans fortune, il atlendoil qu'on exécutât son égaid le testassent qui l'instituoit- Ou sait que le tribu nal fiançais s étant déclatè incompétent, un Ui- bunal arbitral fut iustitué et ce tribunal, dont la sentence n'a jamais été homologuée, a mis les six millions déposés chez M- Latine la disposi tion de MM. Motiiholou et Bet irand, pour qu'ils pussent exécuter les dernières volontés de l'illus tre testateur M- Lallemand se vit donc dans la nécessité de faire un voyage a Paris mais com ment faire comment éviter l'active surveillance de la police d eut recouts un moyen qui pou- voit lui devenir funeste: il écrivit M. F1 an— chet peu près en ces termes a Entte mourir de faim ou mourir en prison il n'y a pas de choix faire je pais donc pour Pâtis; j'ai riverai tel jour je me rendrai chez MM- Montholou et Ber trand 11 ne reçut {tas de réponse cependant il fil le voyage, et retourna Btuxelles sans avoir été inquiété. A-t-il reçu tout ou partie de son legs le procès nous l'apprendra. Un créancier M®' Loison a formé entre lts mains de MM- Montholon, Beitrand et Mar chand une opposition sur ce qui pourrait êtt« dû M- Lallemand incidemment elle pré senté une requête a fin d'interrogatoire sur faits et articles. Les exécuteurs ont formé opposition au jugement qui l'ordonne; veudtedi l'incident Sera jugé nous en rendrons compte- des débats- fan de l'audience de ta cour royale, touchant l'appel de Maubreutl. M. le présidentexpliquez-vous sur l'incident. M. de Maubreui!.* ie demande que les personnel que j'ai désignées soient entendues. M. le preadent t la cour a déjà statué sur cette de mande. Me Gprroain l'un de» défenseurs de M. de Mau- breud prend au non» de son client de conclusion» tendant fai 1 e condamner l'amende les témoins t on comparans ei le» (aire contraindre venir déposer devant la cour. Cet avocat se plaint de ce qu'une bro chure contenant un extrait du plaidoyer de M. M<-u- lice avocat-gcuctal pies la cour loyale de Dot^r

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Le Propagateur (1818-1871) | 1827 | | pagina 2