de seigle occupée se rîébsrhouiller et h quitter «es>
guenilles pour en-Josser ses babils de dame qu elle por
tail dans un panier. On la fixe on la re» onnaiiet le
soupçon du do' teur se trouve vérifié ceite pauvre
etaii sa femme Plusieurs fois elle avait fait des ten
tatives coupables pou> meure disait elle la raison
ion mari dont elle était separee depuis long temps.
La tour d'assises d'Old Bayley, Londres, vient
de proiiooier sut une allaite qui a beaucoup de rapports
evcc celle d Henriette Comier. Mistrisi Biown femme
d'un marchand de charbon, a coupé la gorg<- d'un
enfant ue trois ans qui est une fille de son mari. Cefe
fi n me âgee de 5i ans,eiait lontbee depuis plusieurs
lem'io>s dans une morosité indéfinissable elle avait
ch. ri be se noyer dans une baignoire. On lui a accor
de la permission de s'asseoir pendant les débats. Son
teint était an me ses truis ei ses membres etaienl agi
tes de mouvemens convulsils. P-ndant l'audience elle
a sans cesse demande boire de l'eau et a vide plu
sieurs i arsfet.
Fl'e a eié acquittée sur la déclaration du jury
qu'au montent de l'évenement elle se trouvait atteinte
d'aliénation mentale.
Résumé de s nouvelles reçues de Corfou, le i juin
182b. Tradut ion de l'italien
J'ai le plaisir de von* co. firmer que |'*t exécuté vos
ordres. Trois bànoien» i hatges de biscuit de farine
et de plontb Vienne»! de partir pour Napoii de Roma
ine, on en avait le «.lu* gtanj besoin i le gouverne
ment lui oiêrne aie l'avait écrit.
La plus giande énergie et la ploa grande activité ré
gnaient de lapait du gouvernement grec et de tous
les (jreisen général pour la detense de la patrie; do
t'occupait d'approvisionner les places fortes; mata l'ar
gent manquait beuietiseinent que votre sollicitude
viendra leur secours avec les uombieux chaigemetta
que <ou* laites envoyer
L» s troupes de terre d onne celle de la marine étaient
remplie* d'enthousia me et avaient oflert.de Servir la m
e*.g« r aucun paiement.
Les itispoat'ioua que vous ave» prises pour Cerieo
-auion: un plein su. ces et I appiovisioouement consi-
der jble île-ubsitlsnr es t|ue vous y faites pourra par
Venu sans enqiè- bernent le gouvernement anglais n'y
Iift'ra lias de diftl< ulles. une fregate anglaise partie de
lie de Ccrigo 'e ai mai, annonce que les floues g, e -
quel, u mues dam le golfe ue iNapon rendront (ouïes
les c .mmunieaiions tacites.
LHo.<e iuique paraissait être décidément partie
poui CotiSiMiill'.ople, ei celle d'Egypte pour Alexan
drie. où elle al au ihercher de* lenioits.
U ct ietneot lbiahtm ne ourta rien tenter d'impor
tant .usqn a ce qu'il ail reçu ces reuforlt. Il a perdu
■es meilleure* tionpeS.
t.a plupart des d tenseurs de Missoionghi sont arri
ves a JNapolt de Romaine pour se mettie de uouveau
U disposition lu gouvernement-
•Col.nononi. général eu coet, se Mouvait à'g f
vurii au cpinntl Fabv-er pour observer l'ariu
d lb h tu pacha e> I tmpêcber de traverser les pas-»
ges.ie Kslavnta a 1 ctpol.ua; beau, oup d'autres po;nis
e aient garues pat K.aiiopoulo et uuoes inirépidea cb ls
grecs.
Alliène» était irés- bien préparée pour recevo'r les en
nemis s'us herthaieiu a se dt.iger de ce cote; le mao
que .le vivres e ue munitions étaient les seules choses
qu'on re-iouiait met voire bienfaisance a pense a
temps ces approvisionnement une lois les forteres
ses bien poui vues le» Crées triomphi ront de tons
I «Otaries mute la population est decidee k vaincre
ou m iu'ir et tous veulent imiter les braves de AL»,
•oloughi-
otes communiquées par le comité grec.)
On lit dans du journal
Mous savons, d'ooe source certaine qu'on illustre
vov agrur. qui a passe Florence, Ju i4 an I* juin
a remis k AlEynard vingt mille irpour envoyer des
serouiiaux intonunrs victimes échappées au désastre
de Missolorgb'On assuie que ce grand personnhge,
qui a déjà souscrit pour 4^ 000fr. en faveur desGieca
a fctii a M. Eynard les paroles suivantes t
Monsieur, s'il est encore temps de racheter lestent»
mes et les eu fan s qui sont tombes entre les mains des
inaiiome ans après I* caiatiroph du Vlssolonghi
a je vous prie d'employer a cette oeuvre d'humanité
n e1 de charité chrétienne, entre le* 51,000 (r. que
vôts^y avez déjà destiné* 20,000 fr. .le ma pari.
Prenéfc^saiia perdre un instant, le* mesures les plus
efficaces poor atteindre ce but voles au sècouts.de
ces infortunées victimes, sauves-les de la prostilu-
lion et de l'apostasie.
Que 1 es paroles chrétiennes sont ton> hantes! Nous
respectons I anonyme qu'a voulu conserver cet illustre
voy-geormais il est bien peu de lecteurs qui ue le
deviuèroui pas.
TBIBUBAOX
Le nommé Têtard âg.- de 22 ans, ouvrier maçon,
et la riooimee Victoire Cro cette ouvrière en scnallg
ont comparu hier etaejourd but devant la cour d'assi
ses comme accuses, le premier du crime d'assassinat
Commis si" la personne de la veuve Dartre), rue Beau-
regard e. du vol d'une somme de g >>oo Ir.. la seconde
d'avoir rei elle ladite somme, sachant qu'elle avait été
obtenues l'aide de l'assassinat. Les soupçons planèrent
d'abord sur quelque* parent de la veuve D.nrelqui
furent arrête* m-is cet soupçons furent ultérieure
ment reconnus sans iondr-nieiri.
Tel était l'état île* choses, quand, près de deux mole
après, quelques propos équivoques de Victoire Croi-
xettequi entretenait des relu1 ion» intimes avec le
nomme Têtard, fixa sur elle les regards de la police
judiciaire, qui la mil en état d'arrestation. Pressee en-'
tin par le 1 ommusatre de police elle déclara que Té-
tard était I auieu' du crime qu'il avait exécuté pour
depouillet la veuve Danc< I qui passait pour avoir plu-'
sieurs sommet considérables dans son secrétaire, qu'il
lui avait communique «on pro|eteu lui piometlaot
de l'epouter, a'tl parvenait a réussir.
Maigre des déclarations aussi positives, fortifiées
d'aiileurs par divers circonstances importantes que
l'instru-lion a revelee»Têtard proteste avec impassi
bilité de son innocence. Les déclarations de la fille
Croixene. qu'il a long-temps aimee, mais qu'il a refusé
d'epouser ne seraientselon lut qu une suite non-
interrompue de mensonges dont il peut difficilement
s expliquer les molli».
La fi;le C'Otzeite dit de sonrôté, qu'elle a rompu
le silen< e parce qu'elle a vu le» innocent dedans et
les accuses dehois
On avait trouve dans des poches d'une redingotle
de Têtard, que'que» morceaux de papier qui présen
tent quelque* tache.. On les soumet k l'investigation
d'un chun sle. qui det laie qr.tr ce» Iscbes to n cet ta
chas de abac.
Quelques témoins ont s -mblé de jeter la pins pro-
fonde obsr mité sur l'auteur du oiat'- en alfhm ni
d une p*ri, que, le vendred. 3o décerner-, au moment
du cnme preiendu ils ci tai nt avec /.cuse, et de
l.ui.e, en souiei ant queie <n nain same h, a o ce
b. ures-du matin il» oui aperçu lemme Darrcel en
parf-ite santé.
Après une heure de délibrraiion les deux accusés
oui r-te déclarés non loup-blei. M. le pi t si jeu l a or
donné leur mue en libeiie.