DEPOT D'HUITRES VINS ET SPIRITUEUX. AVIS IMPORTANT POUR LES AGRONOMES. NATIVE GUANO COMPAGNY (LIMITED) LONDRES. Nouvelle* diverses. chez la Veuve MERAINY, La Vérité!!! Le Native Guano est fabriqué avec les immondices des villes de Leeds, Hastings et Bolton. {Angleterre.) intité au dessous de 5,000 kilos, au dessus, de 5,000 kilos. Le matériel roulant, avons-nous dit, ne se trouve pas dans (le meilleures conditions et naturellement plus les waggons sont u>és et rlélalirés, plus ils s'empressent •de se mettre en pièces au moindre clioe au grand dommage et au grand péril dus voyageurs. La reprise du réseau du-Grand Luxembourg par l'État est trop récente pour que l'on puisse repiocker l'administration des chemins de fer de n'avoir pas déjà remis neuf tout le matériel qui lui a été livré, t'est une question de Iein|i9 et d'argent, et il faut bien que nous prenions patience. Mais il est une autre cause d'accidents qui se manifeste un peu partout, mais avec plus d'intensité que partout ailleurs sur I* ligne du Luxembourg ét qu'il dépend d'une bonne administra tion de faire cesser immédiatement. Nous voulons par ler des retards dans les départs la marche et l'arrivée des trains. Un train part en retard cela n'a l'air de rien mais pnur se rattr ipper l'arrivée il force sa vilessç c'est une cliaucc de plus pour les déraillements les explo sions les accidents de toûl genre, y compris les ren contres de trains car il n'est rien de plus facile que d'oublier un train en retard de se ligurcr qu'il a déjà passé parce qu'il aurait dû passer depuis un temps plus nu moins long, et d'envoyer sa rencontre sans penser mal un autre train qui se brise sur lui eu l'écrasant. Cela s'est vu et peut se voir encore. La maladie des retards a pris sur -nos lignes de che» ïuins de fer et notamment sur la ligue du Luxem bourg les proportions d'une affection chronique et constitutionnelle. Ou y est leltcment habitué dans les sphères administratives qu'un retard d'un quart (Ulicure, vou'e même d'une demie heure est considéré comme un miracle d'exactitude. Un retard d'une heure n'au torise pas encore rétonneincnt. Le public maugrée mais l'employé reste calme. 11 est vrai que l'agitation lie l'avancerait rien, et nous aimons croire que s'il lui suffisait de se mettre en colère pour faire arriver -la locomotive attendue il -n'y manquerait pas. Un re tard de deux heures est moins fréquent, sans être bien rare. Le livret des chemins de fee n'en mentionne pas moins scrupuleusement les heures de passage des trains aux stations intermédiaires. Il ferait mieux de renoncer ce luxe d'indications mensongères. Nous osons espérer que ce mal, si invétéré qu'il soit, n'est pas encore incurable et nous ne saurions assez engager l'administration des chemins de fer y remé dier le plus complètement et le plus proinpteincnt {possible, car ce n'est pas seulement pour les voyageurs fine question d'agrément, mais ce peur être, dans cer taines circonstances une question de sécurité une question de vie ou de mort. Indépendance Afin "d'éviter des retards dans l'instruction des déclamations pour délais de transport surtaxes pertes, avaries ou manquants, auxquelles peuvent donner lieu les expéditions confiées au chemin de fer de l'Étatle public est prié de vouloir bien ne ^pas perdre de vue que ses plaintes doivent être adressées, dans les vingt-quatre heures, au chef de !a station de départ ou au chef de la station d'arri vée des colis. Le chef de station est tenu d'accuser, par écrit, réception des réclamations qui lui parviennent et d'en faire l'objet d'une instruction immédiate. Si la solution se fait attendre plus de huit jours, tes intéressés sont priés d'en référer la direction générale des chemins de fer, postes-et télégraphes. [Moniteur.) oo«— Voici les noms des officiers qui seront pensionnés le 26 septembre courant MM. Splingard colonel directeur de la pyro technie De Fuisseaux médecin principal de première classe Bodart lieutenant-colonel d'in fanterie Lefebvre, id Marson, major d'infanterie; i Lecompte, major de gendarmerie Isbecque, major d'infanterie Streitz capitaine-adjudant de place. On annonce pour la fin de ce mois des nomina tions assez nombreuses dans toutes les armes. Nous apprenons que l'Extrait de viande Liebig vient de remporter le diplôme d'honneur la plus haute distinction décernée l'Exposition univer selle de Vienne. Nous aimons signaler ce nou veau succès obtenu par la compagnie Liebig, dont le produit se trouve exposé dans le compartiment Belge groupe des substances alimentai res On lit dans le Moniteur Les dernières nouvelles reçues de Jumelle et de Poix, au sujet de l'é<«t des blessés du grave accident de Mir- wart, son satisfaisantes. A moins de complications imprévues, on a l'espoir fondé de les sauver tous et même de les guérir en peu de temps. Il n'y a pas lieu d'eu excepter M. Steiu vérificateur, ni le frère Maynardin, professeur a l'école de Carlsbourg. Leur état s'est, sensiblement amélioré. AFFREUX ACCIDENTS DE CHASSE. - M. Laroche, ton- Relier Virtou et sou fils chassaieut avaut hier soir le sanglier l'affût. Le sigual de déplacement convenu entre les deux chasseurs était uu coup de sifflet. Le jeune Laroche le douue; son père, un peu sourd, ne l'entend pas tire dans la'même dé- rectiou et étend sou fils raide-mort. Lâchasse a encore été marquée paï un bien triste accident Gappelleu. M. Oeus, architecte de la ville d'Auvera, accompagné de son fils faisait avec ses amis MM. Vincent Dillen el Van Dieren fils, propriétaire du IIàndelsbladl'ouverture sur la chasse qu'ils louent ensemble daus le hameau de Ertbraud. Des perdreaux s'étant levésles quatre chasseurs firent feu et le fils Dens reçut daus la figure la charge de M. Dillen ou de M. Vau Dteren fils, nous ne savons lequel des deux. En tous cas, le fils Deus est gravement blessé la figure et la main. Des per sonnes qui ont Vu le blessé disent qu'il perdra un œil et peut- être les deux yeux. Il a été ramené Anvers dans la voiture de M. Dillen, accompagné du docteur Sannier, de Cappelleu, qui a eu une consultation avec uu> des-principaux oculistes d'Anvers. Deux ouvriers verriers les nommés Gustave Wuillanmc et Gustave André, chassaient sur le territoire de Jumetlorsque le chien de Wuilïaurne fit lever un râle que son maître mit en joue trente pas. Par malheur André qui accourait vint sé jeter imprudemment devan.1 le fusil au moment où le,coup partait il reçut toute la charge dans !e bas-ventre. Les médecins Degiimes ut Coppée ont donné les premiers soins au blessé. Son état est très-grave. t Onguent et 'Pilules IIolloway. Aide Efficace. Daus te cours ennuyeux d'une maladie,il est agréable d'appi'endretju'i*. existe un remède certaine qa'ou peut se le procurer bas prix- Les Pilules d'Holloway sout précieuses pour soulager tes peines*, diminuer les inflammations et rétablir la m a robe des fouctious daraugées. Elles ne peuvent jamais "être employées tort, et dans aucun cas, elles ne peuvent nuire. Prises en doses appro priées, elles sout un bienfait pour le riche qui souflfrè d'une indigestiou, de la goutte, de maladies du peau, etc et la sauve* garde du pauvre atteint d'une maladie.La médecine d'rtolloway devrait être en la possession des soldats, de3 rnarius, et des émigrants.qui seraient ainsi même de soulager eux-mêmes leurs'douleurs et de se guérir, lorsque l'assistauoe médicale leur fait défaut. Eu vente: Pilules et Onguent^ obéi Farsou-Vas Oiitrïvb, rue de Dixmude, 35. Ypres. N B. Vendue maintenant en état torréfié, la Revalenta n'exige plus qu'une minute au feu et pour les personnes en voyage, ou qui n'ont pas de cuisine, nous avons préparé des BISCUITS DE REVALENTA, qu'on peur manger bn tout temps; en boites de fer-blanc de 4 et 7 francs. Santé a tous rendue sans Médecine par la délicieuse Farine de Santé Revalenta arabica Du Barrt de Londres. Depuis la cure du Saint-Père par la douce Revalenta Du Burry, elles adhésions de beaucoup de médecins et d'hôpitaux, nul iie pourra plus douter de l'efficacité de cette délicieuse Farine dè Sauté, qui guérit, sans médecine, ni purges, ni frais,les dyspep sies, gastrites, gastralgies, glaires, vents, acidités, pituites, nausées, renvois, vomissements, constipation, diarrhee, toux-, astmhe, phthisie, tous désordres de là poitrine, gorge. haleine, voix, des bronches, vessie, foie, reius, iutestius, muqueuse, clerveau et sang. 74,000 cures, y compris celles de S. S. le Pape le duc de Pluskow, Mœe la marquise de Bréhan, etc., etc. Plus nourrissante que la viaude, elle économise 50 fois son prix eu d'autres remèdes. Cure N° 62,815. Thuillies (Belgique), 30 septembre. Depuis 20 ans j'ai souffert d'une dyspepsie avec tous les maux<[ui l'accompagnent. Votre Revalenta a fait disparaître la stupeur, la chaleur de l'estomac et les oougestious cérébrales. J.-J.Norl. Certifioat N° 62,476. S1 Romain-des-Iles (Saône-et-Loire, «50 décembre. Monsieur, Dieu soit héiii Il a mis fin a mes 18 ans d6 souffrances horribles de l'estomac et sueurs nocturnes pour m'accorder de nouveau le précieux trésor de la sauté. J. Comparât, curé. En boites 1;4 kil.. 2 fr. 25; t/2kil., 4 fr.; 1 lui., 7 fr.; 6 kil., 32 fr. 12 kil., 60 fr.— Les Biscuits de Revalenta eu boites de 4 el 7 fr. Lh Revalenta chocolatée reud appétit, digestion, som meil et énergie aux personues et aux enfants les plus faibles et nourrit dix fois mieux que la viande et que le chooolat ordinaire. >-« Eu boîte» de 12 tasses, 2 fr. 25; de 576 lasses, 60 fr., o«i en viron 10 c. la tasse. Envoi oontre bon de poste. Dépôt Ypres. G. Becuwe. pharni., rue du Verger 11- Fryéon, phmin., rue de'Dixmude G. Veys, pbarm., rue de Lille; H. Mahieù, boulanger, rue du VergerBruges. Veuve De Grave, drog., rue Eeckout, 2 S. Veys-Deloampe, pharm., rue Nord du Sab!ou> 9 V. Veys-Frysou, près S1 Jacques, 21, pbarm. H. Staudarert, pharm., rue des Pierres, 29 ;-L. Algoet-Dispersyu, uégt., rue Notre-Dame, 35 De Ifondt-Gazet, denrées coloniales, rue des Pierres, 10; A. Wiliaert-De Srnet, denrées colouiales, Grand' Place", S 'A .'Delplace, imprimeur-éditeur, rue Nord du Sablon, 24. Courtrm. II. Bossaert, pharm.; E. Hiers. pliarui. L. Kiudt-de-Gheyne, pharm,, C. Vander Espt, pharui. Dix- mudb. Claus-Vaud« ubussciie,fabrique de chicorée.— Furnes. J. Dobbelaere, pharm. E. Duclos, phann. Mknin. Veuve Van Ackere, pharm. Moorslede, Ch. Bostyn. boulanger. Niku- port." L. LeFevre, pharm Vanbaeckel-Focqueiir, pharm. Osténde. F. Kockeupob, pharm.rue Louise; Hayward. deuréeà coloniales, 68, rue de la Chapelle Veuve Philips, épicerie et négociante, Place S1 Joseph. Popeuingue. A. llaelewyck, pharm. Roolbrs. F. Ameye, pharm. H. Boutens-Degheest, pharui. Thiblt. J. Buysseus-Byl, pharm. Tuourodt. J* Vande Castéelê, iînprimeur. t Marché au PoissonYpres. Tous les jours frais d'Ostende. rour dîners homards, turbots et sau mon.- Une maison importante de Bordeaux dé sire s'adjoindre un représentant sérieux et capable.Bonnes remises. Écrire initiales B. CM 65, Cours d'Aibret Bordeaux. Lorsque les pellicules abondent, c'est un signe certain de la prochaine chiite des cheveux. Employez vite,vite l'huile Dalminesi vous voulez les conserver. Par suite de son application, les cheveux cessent de tomber t»t les têtvs les plus chauves se couvrent ^'uu léger duvet qui tomberepousse et finit par se c eu une abondante chevelure. ^dispense de pommade et ne tache pas# persuadé .''persuadé! per- Fabrication des Engrais indigènes coonus sous le nom du Native Guano. Cet engrais, déjà connu depuis plusieurs années par plus de mille agronomes d'Angleterre, d'Allemagne et de Belgique, a donné les résultais les plus favorables pour louies sortes de produits'tels que, froment, orge, blé, avoine, houblon, sirrazio, lin, betteraves, pommes de terre, gazons, arbres, fruits, fleurs et même pour la cultivation du café. Il est eu poudre sèche et sans odeur. il est déjà reconnu par les agronomes qne les Immondices de villes donnent nu engrais naturel supérieur tons les Guanos connus jusqu'à ce jour. Les certificats des villes, gouvernements et agronomes constatent la supériorité de cet Engraià-'el la notable économie qui en résulte.^(Certificats, et reuscignemeuts seront envoyés quieouque eu fera la demande.) »h mt. tet dépositaire général

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Le Progrès (1841-1914) | 1873 | | pagina 3