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Il El I il li Ijil I llltillllfj.l de Londre» Vdise*digestion* (dyspepsies), gas
trites, gastralgies, constipations habituelles, héinonhoides, glaires, Ve®*M» palpitatious, diarrhée, goii-
ileuieut, etoiudisocinciit,bruit les oreilles, acidité, pituite, migraine, surdité, renvois, nausées et
vomissements après repas et eu grossesse; douleurs, aigreurs, crampes, spasmes et inflammations d'esto
mac, des reins, de veutre, du cœur, des côtés et du dos, tout désordre du foie, des nerfs, de
la gorge, des brou c lies, de l'haleine membranes muqueuses f vessie et bile insomnies, toux.
oppressiou, asthme, catarrhe bronchite, phlhisie ^consomption), dartres, éruptions, mélancolie,
dépérissement, épuisemeut, paralysie, perte de mémoire, diabetes, rhumatisme, goutte, lievre, hystérie,
a danse de îy1 4»«y, writatum des nerfs, névralgie, vice et pauvreté du sang, chlorose, suppression, hy-
dropisie, rhumes, grippe, manque de fraîcheur et d'énergie, hypocondrie, tlle est aussi le meilleur for
ti liant pour les eufauts faiblca cl les personnes de tout âge formant de bons muscles et des chairs fer mes.
Extraits de 65,000 guérisons. i Désormais nul ne pourra douter des cures merveilleuses obtienne
par la Levaient* Arabica du Barry. Aux milliers de bénédictions déjà reçues, nous sommes heureux de
pouvoir joindre celle du Pape. Elle est constatée dans la Gazette du Midi: Rome, 21 Juillet 1866. La
sauté du $aiut Père est excellente, surtout depuis que, «'abstenant de tout autre remède, il fait ses repas
de la Rkvalbnta Arabica do Barbt, qui a opéré des effets surprenants sur lui. Sa Sainteté ne peut asses
louer les avantages qu'elle ressent de cette excellente fariue dont elle prend une assiettée chaque
repts. Correspondant de la Gazette du Midi. Cure H9 58,614 de madame la Marquise de Brébun
tapies, le 17 avril 1862. Monsieur, Par suite d'une hépatite j'étais tombée dans un état de marasme
qui a duré sept ans. 11 m'était impossible de lire, écrire ou faire les petits travaux l'aiguille j'avais
des battements nerveux par tout le corps, la digestion fort difficile des iusomuies persistaules et
j'étais eu proie une agitation nerveuse insupportable qui me faisait aller el venir sans pouvoir me re
poser peudaut des heures entières. Les bruits de la vie ordinaire, même la voix de ma femme de
chambre, me faisaient mal j'étais d'une tristesse mortelle et tout commerce avec mes semblables
m'était devenu très pénible. Plusieurs médecins anglais et français m'ayant prescrit des remèdes iuu-
tiles jen désespoir de cause j'ai voulu essayer de votre farine de Sauté. Depuis trois mois j'en fais ma
nourriture habituelle. La Kevaleuta Arabica est bien nommée, car béni soit le bon Dieu l elle m'a fait
revivre, je puis maintenant m'occuper, faire et recevoir des visites, euliu reprendre ma position soci
ale. Agréez, Monsieur, l'assurance de ma vive reconnaissance et de ma considération la plus distiugiiée
Marquise dk Bbehaw. N® 52,081 M. le duc de Piuakow, de maréchal cour, d'uue gastrite
N® 65,184 La femme de M. L.-J. Dury, Jurnet près Cliarleroi, de plusieurs auuées de souffrances in
tolérables dans l'estomac, les jambes, les reins, les nerfs,1 les yeux èt la tète. Ne 62,815 MJ. J. Noels
de 20 ans degastralgie et souffrances des nerfs et de l'e3toinac. N° 62,476: Sle-Romaiue des-lies-,
(Saoue et Loirei. Dieu soit béni la Hevalenta Arabica a mis tin a mes 18 ausde sou tira ne es horribles de
l'estomac, de sueurs nocturnes et mauvaise digestion. J, Coinparetcure. N® 55,860 Ml,c Galiard,
rue du Graud-Sainl-Nlichel, 17 a Paris, d'uue phlhisie pulmonaire, après avoir été déclarée iuourable eu
1855 et qu'elle n'eût que quelques mois a vivre. Aujourd'hui 1867, elle jouit toujours d'une bouue saule.
Elle économise mille fois son prix eu d'autres remèdes et a opéré G5,000 guéiisous rebelles tout
autre traitement. Ul ISA UHl v et c1*® 12; Uue de l'Empereur, Bruxelles; 1/4 kilo.. 2 ir..
25 f 1/2 kilo., 4 fr. 1 kii. 7 fr. 6 kilo.. 32 fr. 12 k., franco, 60 fr., coulre bou de poste.
LA REVALENTA CHOCOLATEE DU BARRY, EN POUDRE.
Alimeu» exquis pour'déjeuner et souper, éiniuemmeut nutritif, s assimilant et fortifiant les nerfs
et les chairs, saus causer de maux de tête, ni échautlemeul, ni les aunes inconvénients des chocolats
ordinairement eu usage. Boite pour faire 12 tasses,Ir. 2-25 id. pour faire 24 tasses, fr. 4 id. pour
faire 48 lasses, tr. 7 ni. pour faire 288 tasses, fr. 52 id. pour faire 576 tasses, fr. 60, soit euviruu
10 ceutimes la lasse. 8e vend dans toutes les villes, chez les premiers pharmaciens et épiciers.
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Secrétariat de l'administration, compter
du Lundi, 18 courant.
Fait en séance, le 21 Avril 18G8.
les bouhgmestre et écuevins,
P. BLKE.
PAR ORDONNANCE t
LE SECRÉTAIRE,
J. DE CODT.
Vendredi 22 Mai i8f>8 i onze
lieurr's du matin, il sera procédé par le
COLLÈGE DES BOURGMESTRE ET ÉCUE
VINS, ou son délégué, en la Salle du rez
dn-cliaussée de l'Hôlel-de-villc, l'Adju
dication de» travaux exécuter
pour le» changement» et amélio
ration» réclamé» au Palal» de
justice.
Le devis estimatif et le cahier des charges,
clauses et conditions seront déposés auj
Cetlo combinaison non-
vélle, basée sur des prin
cipes non connus des
médecins anciens, remplit
avec un bonheur rcmar-
uable lotîtes les condition)
u problème de la médica
tion purgative. A l'opposé
des aitres purgatifs,celui-
ci n'opère bien que lorsqu'il
est pris avec de très bons
aliments et des boissons fortifiantes. Il ne manque
pas son effet, comme cela arrive souvent l'eau d)
sedlitz el d'autres purgatifs. La dose est facile a
régler selon l'âge ou la force des individus. Les en
fants, les vieillards el les malades les plus débilités I)
supportent sans difficulté. Chacun choisit, pour ta
purger, l'heure et le repas qui loi conviennent le
rnieui, selon ses occupations habituelles. la fatigue
delà purgation étant complètement annulée par l'effet
de la bonne alimentation prescrite, on se décieie tact
lemenl recommencer aussi souvtnl que cela est
nécessaire. Les médecins nui emploient ce moyen,
ne rencontrent plus de malades hésitant se purger,
sons prelexle de mauvais goût, ou par la crainte de
s'affaiblir. Ià longueur du traitement n'est plus on
obstacle, et lorsque le mal exige, par exemple, qu'on
se purge vingl fois île suite, ou n'est plus retenu par
la crainte d'être obligé de renoncer avant la lin.—
Ces avantages deviennent bien plus précieux, quand
il s'agit de maladies sérieuses, telles que futm'uri,
engorgenieiitj, t/ftclions culnneet, catarrhes el bien
d'autres maux réputés lucnrables mais qui cèdent
nne purgation régulière et longtemps réitérée. Voir la
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